Employé musulman suspendu pour "radicalisation" : la justice donne tort au préfet
25 janvier 2014 20:04, par rar
En gros on n’avait concrètement rien a lui reprocher : il parle arabe, il ne fait pas la bise, il ne montre pas de répulsion. On suppose évidemment que tous ses points étaient mis en évidence dans son contrat de travail avec les instructions précises y afférant et conditionnelles de son maintient sur le poste. Tout va devenir tout simplement impossible avec tout, tout le temps, et tout le monde ; exactement comme dans un asile de fous mais avec cette différence ; c’est qu’en l’occurrence, se sont les gardiens qui sont dingos. Une véritable épidémie de connerie...Arrêté préfectoral, police des frontières (elle est bien bonne quand on sait le nombre de clandestins qui entrent et sortent de ce bouif, et une police de plus...on en manquait...) Mais il est vrai que nice est un lieu de résidence et de villégiature important pour la race des seigneurs, la colonie sud. Cet esclave a probablement dû être chaudement recommandé par un de nos maîtres.