Denis Rabaglia, cinéaste suisse, s’adresse à la France
25 janvier 2014 21:20, par Thomas M.
Un peu d’auto-dérision pour éviter la disqualification facile de ses contradicteurs sophistes, la visette bien aiguisée, cela prouve que même dans le monde du cinéma, on a des observateurs qui se taisent.
Tout est bien vu : la comparaison avec la monarchie décadente, le lien intrinsèque entre le capitalisme de la séduction et la prostitution, l’indécence comme la norme, l’interdiction d’un anti-raciste noir jusqu’au-boutiste par favoritisme philo-judaïque, et le rappel du pays-refuge qui accueillait les dissidents en exil.
Bref, et le retour aux anciennes valeurs ? Maladresse ou suggestion conclusive ? On peut quand même en douter, car la critique reste bien poussive !