L’idée d’une parité entre hommes/femmes m’est toujours apparue comme grotesque. L’ascension de quelqu’un devrait se faire naturellement, sans distinction de religion, d’appartenance ethnique ou de sexe. Etablir une parité suggère qu’il y ait discrimination positive. Comment rendre hommage au talent d’une femme si on l’enferme dans un rôle ou elle doit se montrer débitrice à jamais de sa hiérarchie ? Ah... mérite, tu es un mot que ces chantres de la médiocrité, ces asservisseurs de ressources humaines, ces théoricien de la deconstruction horripile...
...1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau. (sic)
Que monsieur Peillon, qui ne connait absolument rien à l’Histoire, se taise. Cela l’évitera de nous accabler avec sa rhétorique fallacieuse. 1789 a été la révolution des bourgeois, grand possesseurs mobiliers, contre la noblesse et le clerc, possesseurs immobiliers. Les seules véritables révolutions françaises, celles de la convention nationale ainsi que la commune de 1871 ont été noyées dans un bain de sang.