Déconstruisons les stéréotypes véhiculés par Najat et Vincent ! (ou Vincent et Najat)
9 février 2014 10:41, par Raphaël Zacharie de IZARRAJustice esthétique et droits de la beauté - 1
Dans cette société obsédée d’égalité artificielle entre les individus, pourtant tous différents par définition, paradoxalement on a tendance à dénigrer beauté, fortune, réussite et chance insolentes sous prétexte qu’elles seraient contraires à l’idéologie égalitaire, plus proche du tyrannique désir de nivellement généralisé que de la reconnaissance et du profond respect -voire de la promotion- des sommets éclatants de certains êtres.
Selon les critères non pas de nos théories sociales, morales ou religieuses fumeuses mais selon les réalités et lois physiques (atomiques, astronomiques, chimiques, physiologiques, etc.) et également historiques, artistiques et psychologiques universelles observées dans la Création et les oeuvres humaines, la vraie justice devrait être basée non sur la glorification des fruits médiocres mais sur le modèle de l’élitisme.
Ainsi, pour prendre un exemple quotidien, les belles femmes devraient être respectées pour leur seule beauté, entretenues par des hommes fortunés, éduqués, bien nés, chantées et protégées par nos textes de loi au lieu d’être injustement, honteusement ravalées au rang de simples, vulgaires citoyennes comme les autres. Non, les enfants d’Aphrodite ne sont pas des femmes comme les autres.
Les poupées de porcelaines ne sont pas des poupées de chiffon.
Tandis que les laides, plutôt que de les placer iniquement à la même hauteur que les créatures sous prétexte qu’elles sont boiteuses, obèses ou que leurs traits sont grotesques, elles devraient être battues pour leur indécence de vouloir usurper le trône des élues. Raillées pour leur ignoble imposture. Mises à l’écart de la belle population et pourquoi pas, attelées de force aux charrues. Les champs, voilà la place méritée de ces femelles ridicules et nuisibles qui tentent de singer les mannequins de salons. Cette vile volaille serait moins stérile à tracer des sillons huit heures par jour qu’à vouloir vivre 24 heures sur 24 dans une peau trop flatteuse pour son plumage sans éclat !
(SUITE)