Honte à ce procureur de la république,à ces policiers qui n’ont vraisemblablement pas de cerveau. Un officier de police judiciaire patriote, se doit de désobéir à toute injonction d’un supérieur lorsque ladite injonction est contraire aux valeurs de la république et à la liberté d’expression.
Tout comme les militaires patriotes se doivent de désobéir aux ordres inappropriés.Le Bulletin officiel des Armées de décembre 2005 (numéro 45) cache une petite bombe. Il donne à tout militaire l’ordre de désobéir si les ordres qu’il reçoit sont jugés contraires à l’éthique et de faire remonter vers les trois plus hauts échelons de la hiérarchie militaire les motifs et circonstances de ce refus. Il donne à tout militaire l’ordre de désobéir si les ordres qu’il reçoit sont jugés contraires à l’éthique et de faire remonter vers les trois plus hauts échelons de la hiérarchie militaire les motifs et circonstances de ce refus.
Le texte paru au BO de décembre est directement tiré du Journal officiel du 17 juillet 2005 et du décret n° 2005-796 relatif à la discipline générale militaire. L’article 7 (alinéa 3) de ce décret précisait que « le subordonné ne doit pas exécuter un ordre prescrivant d’accomplir un acte manifestement illégal ou contraire aux règles du droit international applicable dans les conflits armés et aux conventions internationales en vigueur en France ».
Or le texte de l’article 7 de l’Instruction n° 201710 publiée au BO de décembre diffère sensiblement. Désormais « le subordonné doit refuser d’exécuter un ordre prescrivant d’accomplir un acte manifestement illégal » et, surtout, « le militaire fait savoir son refus, par tout moyen et dans les plus brefs délais soit au ministre de la Défense, soit à son chef d’état-major d’armée, soit à l’inspecteur général de l’Arme ».
La collaboration des corps constitués avec ce pouvoir inique, a encore de beaux jours apparemment. Les traîtres sont légion dans ce pays .