Philippe Prévost sur la destruction de l’église Sainte-Rita de Paris
7 mars 2014 13:38, par yvonne76Allez dans les églises près de chez vous. Habitez ce lieu ouvert à tous et à toutes. L’argent manque dans les églises. Les curés se contentent de peu pour vivre, mais une église pleine un dimanche leur donne la force de continuer. Une petite pièce d’un euro chacun à la quête qui sera répartie dans le diocèse changera tout si on est à nouveau nombreux à venir écouter la parole qui fait du bien. Il y a aussi le denier du culte 1% environ de votre salaire pour aider les prêtres qui vivent dans des conditions qu’aucun imam ne connait aujourd’hui. Un curé motivé, une église qui se bouge, des fidèles qui se lèvent, oh les gars (et les filles) qu’est-ce qu’on fait ? on fait ce qu’il faut ou pas ? Ce sont nos racines ancestrales. Ce qui n’a rien à voir avec un autre débat celui de l’islamisation. Mais que vous le craignez ou pas, que vous soyez fils, fille, petit fils ou petite fille de catholique plus ou moins pratiquant, ce n’est même plus de cela dont il est question. Ce dont il est question c’est : ALLONS NOUS NOUS LAISSER FAIRE CE QU’UNE PERSONNE NORMALEMENT CONSTITUE REFUSE ABSOLUMENT !
Quand les catholiques auront disparu c’est aux musulmans que ce système à s’en prendre. Il faut le savoir. Je respecte toutes les religions, mais celle de l’argent (Mammon), est l’ennemi commun.
Pour info, j’habite, j’ai la chance d’habiter dans une commune rurale de 240 personnes, mais reliée à d’autres plus importantes. Notre église qui nécessitait des travaux est en cours de restauration.Sur dossiers envoyés aux divers acteurs tels que Fondation du Patrimoine, Conseil Généraux, etc, le simple fait qu’une association locale, des paroissiens actifs se soient manifestés pour donner un peu d’argent nous a permis d’accéder à des travaux de plusieurs centaines de milliers d’euros. Un argent bien investi pour la communauté et pour la France. Bien mieux que tous ces millions d’euros distribués dans la nébuleuse des associations depuis F. Mitterand et qui vous en conviendrait n’aura ni d’un bord, ni de l’autre rendu personne heureux, ni mieux dans sa tête.Quant à lui se triste sire, de F.M. il parait qu’à la fin de sa vie il avait un peur bleue de la mort, tu m’étonnes... il demandait à son chauffeur de l’arrêter devant les églises de campagne au gré de leurs itinéraires officiels ou pas, et alors il entrait dans ses petites églises de campagne, seul, et avec l’humilité dont il ne nous faisait pas profiter, il s’allongeait à plat ventre devant l’autel face au christ, et restait là sur le sol froid à prier...