Au fait, comment dit-on enfoncer des portes ouvertes en langage communautaire ?
J’aimerais bien entendre parler du véritable progrès, celui porté par les scientifiques conscients de leur responsabilité à l’égard de l’espèce et de son réduit terrestre actuel.
Bref, ceux qui ont le sens et la volonté du bien commun parce qu’ils sont des êtres spirituels qui ne faiblissent pas.
Mais là, c’est tabou, bien sûr, il vaut mieux faire admettre aux gentils qu’ils sont du bétail et bien les occuper pour ne pas qu’ils comprennent et se préoccupent de la condition et de la vocation première d’un troupeau.
Il faudrait pour cela boucler la boucle, en revenir aux fondamentaux de l’approche scientifique et réaliser ainsi le saut qualitatif du véritable progrès... celui dont il faut à tout prix tenir la masse à l’écart.