J’ai pu voir en Inde, il y a 25 ans déjà, des tourneurs fraiseurs avec la gamelle et le lit de camp au pied de la machine. Après coupure, lorsque le courant revenait à 3 ou 4 heure du matin, le tourneur reprenait son travail. Ça m’a marqué, il y avait une image prémonitoire dans mon esprit, celle qui nous arriverait un jour : être dans la situation du tourneur indien !
On y est... Les syndicalistes devraient subir un déculottage en règle en place publique. Tous ces empaffés qui ont fait carrière dans l’institution du syndicat subventionné par les patrons et l’état. Ils en ont strictement rien à foutre du devenir des ouvriers virés ou surexploités.