Éducation nationale : le (dernier) mauvais coup de Vincent Peillon
28 mars 2014 00:38, par aioli13
L’être humain dispose d’une conscience qui lui permet de révéler son essence, or il apparaît que la quasi-totalité des individus à défaut de vivre pour la vérité, l’absolu et la perfection ne vivent que pour des futilités. Si l’enseignant ne nourrit pas en lui des valeurs saines, il sera incapable de tendre une main bien vaillante à ses élèves. Cette vacuité ambiante explique surement pourquoi nous vivons dans une société basée sur le mensonge, le néant et le vice.