Liban : la souveraineté nationale entre le réel et le désirable
30 mars 2014 12:17, par fylyp82
Bon, il avait son côté quéqué et comme tout le monde, il n’avait pas les mains très propres. Ceci dit, je me souviens d’un type qui était profondément libanais et qui donnait le change en tant que président lors des festivités (pendant son mandat, le club de Hekme (Sagesse) de basketball a connu ses années de gloire avec 3 finales de championnat d’Asie d’affilée dont une gagnée). C’était pas le pire, en tout cas, contrairement à Rafik (qui s’est fait sauter au moment où il commençait à réaliser que ses allégeances étaient incompatble avec ses projets).