Dans les pays dits modernes, la disparition des maladies a suivi l’assainissement de l’habitat en général, avec la construction des égouts, le ramassage des ordures, la distribution d’eau potable. L’arrêt du chauffage au charbon, en particulière en Angleterre, a aussi fait disparaître la tuberculose pulmonaire.
Mais tout médecin, à l’instar du Dr Alain Scohy, devrait dénoncer le concept même de vaccination, puisque l’organisme est doué d’homéostasie, c’est-à-dire qu’il tend à se normaliser naturellement, pourvu qu’on le laisse faire (sans l’en empêcher).
On peut d’ailleurs démontrer facilement que l’industrie vaccinale rajoute SCIEMMENT dans ses vaccins des produits qui rendent malades. Ainsi, sans parler des métaux lourds, il y a en particulier le squalène. Ce produit naturel, connu depuis assez longtemps des laboratoires de recherche sous le nom d’adjuvant de Meund, a toujours servi à déclencher des maladies auto-immunes chez les animaux cobayes, afin d’essayer ensuite de trouver un remède.
Les vaccins ne servent donc pas à prévenir la maladie, mais plutôt à des buts eugéniques en invalidant la population, ou bien, à la limite, à fabriquer de futurs patients.