Le média Bild active la propagande anti-russe
17 avril 2014 01:45, par Raison GarderJe pensais que la Russie et l’Union Soviétique étaient deux entités différentes même si la Russie a hérité de l’essentiel de ses moyens matériels ?
C’est plus que malsain que de se prévaloir ainsi de son héritage politique et idéologique.
Et aussi pertinent qu’aurait été le fait pour un révolutionnaire français que de se prévaloir de la politique des Rois.
Je soutiens la résistance Russe face aux manœuvres impérialistes, disons-le, de l’OTAN mais ils peuvent toujours aller se faire m****e avec leurs fables relative à la "grande guerre patriotique", d’autant plus qu’on sait que Staline amassait des quantités colossales d’armements pour "libérer" l’Europe jusqu’à Dublin, qu’il s’agit-là de la raison pour laquelle l’Allemagne s’est risquée à ouvrir un second front, malgré la mauvaise expérience de la Première guerre mondiale, dans ces terres immenses et inhospitalières face à un ennemi à la puissance mal connue en pleine guerre contre l’Angleterre, avec la menace permanente d’une déclaration de guerreUS (je précise pour répondre d’avance à ceux qui disent que c’était pour des raisons de Lebensraum ou je ne sais quel autre délire... même à supposer qu’une telle volonté de "conquête de l’Est" ait réellement existé en Allemagne, il est évident que celle-ci n’était alors pas pressante au point de prendre des risques aussi énormes en de moments si critiques) et qu’il faut vraiment faire preuve d’une énorme chutzpah pour parler de la "barbarie Nazie" quand dans le même temps on fait l’apologie de l’URSS de Staline...
Allez, je vais troller un peu et aller dans le sens de l’auteur de cet article qui tient beaucoup aux symboles historiques visiblement.
Je trouve que non seulement ces deux T-34 doivent être conservés, mais qu’on devrait ériger une statue géante montrant une fillette allemande de 7 ans se faire violer par deux "libérateurs" de l’armée rouge portant chacun 4-5 montres à chaque bras et plein de petits "souvenirs" dans les poches et l’un en pleine action, l’autre qui tient les poignets ou lui met le couteau sous la gorge.
Car oui, c’est à ça qu’a ressemblé la "libération" de Berlin, et plus généralement que ressemblaient les "libérations" par l’armée rouge, y compris des pays non-belligérants.
L’auteur a raison, ne réécrivons pas l’histoire, montrons-là sans pudeur.
Ca serait un si beau symbole de réconciliation, de triomphe sur la barbarie, etc. Un peu comme les blocs de béton où Alain a fait sa photo quenelle qui lui a valu tant d’ennuis.