Dans le jeu de la Russie :
le gaz gratuit,
la Crimée et son référendum,
les russophones,
une bonne image grace au calme et la pondération imperturbable de Poutine.
Dans le jeu occidental :
un coup d’état avec des morts,
un premier accord renié malgré les assurances et les garantis,
un ou plutôt 3 mouvements néo-nazis,
une crise financière et surtout l’absence d’envie de tenir les promesses de paiement.
Pour ne pas payer, le compromis devenait urgent ... Surtout s’il n’y avait plus moyen de virer les russes de Sébastopol.