Chaque article ou conférence de Gilad Atzmon peaufine et agrandit un discours radical et clair.
Il est arrivé au point de dépouillement que ses veines et ses pensées transparaissent pour nous offrir des idées que nous n’aurions jamais osé formuler ainsi, nous les goyïm.
C’est une radicalité qui fait parfois peur, mais qui est salutaire, et dans ce dernier article il met en avant notre devoir d’ingérence et critique d’un système infiltré dans nos propres circuits de pensée, dans notre sang et dans l’air qu’on respire.
Notre capacité à dire non à chaque obstacle dressé pour nous empêcher de raisonner en toute objectivité, en évitant la gangue émotionnelle dont les lobbies chargent notre subconscient, est mise à rude épreuve, mais il nous montre le chemin.
Le lire c’est un bonheur, la traduction est magistrale, mais c’est un peut difficile à ... gérer !