L’ usage du pronom personnel "je" s’impose dans ce courrier. Il est plus raisonnable pour un algérien d’aborder des problématiques à ce point épineuses en son nom propre plutôt qu’au nom de tout un peuple. Le "nous" eut-été présomptueux et le "ils" hasardeux voire condescendant.
Je souscris en tant que concernée à l’essentiel du message.