Rapport sur la mortalité des abeilles : à quoi ont bien pu servir 3,3 millions d’euros ?
11 mai 2014 01:09, par matrix le gaulois
Vous noterez le paradoxe de la situation :
D’un côté : des insectes utiles (pollinisation), qui ont le sens de la vie en communauté (ruche), de la hiérarchie (la reine), travailleuses, produisant des denrées utiles et qui contribuent à la beauté de la nature et de nos plats.
Ces animaux magnifiques étudiés, de l’autre côté, par de vulgaires parasites, coûteux, qui participent au déclin de la société, qui nuisent à la beauté et à l’utilité de ces nobles animaux en leur y attachant leur nom et leur "travail".