Moi, c’est le concept "retournement de l’inversion" qui me parle car, les droits de l’homme naissent et demeurent les devoirs envers Dieu, les devoirs envers son prochain et seul compte le droit, pour les devoirs, d’être accomplis. Et, quand les êtres (devoirs) sont accomplis, il y a la profonde empreinte du sacré dans le cœur de l’homme.
Soyons grands, nous, les tout petits, et laissons aux grands de notre Monde l’ambition d’être, eux aussi, tout petits devant Dieu, l’ambition d’être accompli.
Sept milliards de vies humaines d’une valeur inestimable, voilà la richesse de tout un chacun, quant à la valeur de notre Terre, je vous en laisse mesurer l’ordre de grandeur.
Le pharisien peut garder son pouvoir et ses prérogatives, à juste titre se considérer comme le peuple élu, l’Humanité ayant le rôle d’électeur qui a élu (qui a élevé spirituellement) le peuple juif qui ne l’était pas car, il accomplissait le Mal. Être peuple élu, c’est servir le Bien, et cela permet de porter avec une fierté méritée sa kippa et ses convictions politiques.
Le pharisien nous a montré la puissance du Mal, à présent, qu’il nous révèle le pouvoir du Bien !