Ras le bol du prosélytisme gay et du Q omniprésent !
10 juin 2014 18:40, par MagnaVeritas@Nana & @delamargelle
Excellents commentaires.
En tant qu’homme, je peux dire que j’en ai moi aussi plus que marre de ce néofascime du désir.
De toute façon, le comportement peut être façonné. Il l’est même obligatoirement. Il n’y a pas d’environnement neutre. Tout environnement influence le comportement, a fortiori quand cet environnement est un totalitarisme libidineux imposé par le Système.
Ils ont dû faire preuve d’un tel niveau de sophistication pour écraser moralement la population (voir le bouquin cité au pied de l’article, je suis entrain de le lire ces temps)... et ils osent prétendre que c’est naturel. Chuzpah.
@« Issa » : sage message.
@samra
En attendant, 99% des hommes sont victimes, oui. Les femmes aussi.
@Xavier57
Moi, je résiste (de plus en plus difficilement). Mais encore faut-il en avoir les moyens intellectuels. Ceux qui se vautrent dans la fange de cette société exécrable ne s’en rendent même pas compte. De toute façon, ils sont programmés pour suivre le diktat du système, peu importe qu’il soit bon ou pas.
+1 Mansur
@Lonewolf
Il ne s’agit pas du tout d’une détestation du corps mais vivre en société implique de respecter autrui sans agresser ni sa vue ni sa libido. Plus de saucisson, moins de beauté, voilà comment ça évolue. Toutes ces demi-putes surfardées, de plus en plus grasses, sans tenue ni maintien ni grâce, et laides, qui exhibent leurs jambons, leur bide, leurs nibards, avec en plus la jupe ras la foune ou le pantalon moule-cul, c’est insupportable. Sans parler des odeurs. Elles imitent, comme les cons d’ailleurs, les images de la propagande d’hyperstimulation sensorielle libidineuse.
Et c’est pire l’été, pouah ! tous ces tarés à moitié à poil qui donnent l’envie de dégueuler, à force. Chaque année c’est pire. Avant-hier, je me promenais en ville, je me serais cru à la plage : des abrutis torse nu, des dégénérées en "tong" avec une jupe et un haut de maillot en guise de tenue... On est où là ?
On n’a pas envie de voir ça, mais on nous l’impose ! Pour nous rendre fous. On nous éprouve, on nous harcèle, on fait tout pour nous faire disjoncter et ou nous attend au tournant.
Dans les affaires de viols de femmes (relativement rares d’ailleurs, ce qui prouve la grande maîtrise des hommes sur eux-mêmes), on ne pointe jamais la pornocratie du doigt comme responsable alors qu’elle l’est autant que le violeur.
Cette espèce d’érotisation morbide permanente et diffuse est extrêmement malsaine à tous les niveaux.