Nouveauté Kontre Kulture : L’Effroyable Imposture du féminisme, de Lucie Choffey
28 mai 2014 07:32, par MagnaVeritasMessage aux vrais
On remarque qu’un bataillon de boniches trollesques vient systématiquement mettre la pagaille sur les rares articles d’ER traitant du féminisme - y compris l’annonce de la sortie d’un livre !
Inutile de répondre à ces demi-femen car les seules réponses appropriées à leurs pluies de glaviots de mauvaise foi, d’ignorance crasse et de lieux communs risibles seraient des coups et des insultes. Comme nous sommes civilisés, contrairement à elles, la meilleure réponse est encore le silence et l’évitement.
Ce sont des cas typiques de blooms - des incarnations de vide.
Et des « attentions whores » : elles aspirent comme des trous noirs l’attention (et les infos)dans le but de satisfaire leur narcissisme égotique monstrueux. Et, par la confrontation, construire leur identité par ce qu’on leur oppose, à bon compte, sans gratitude..
Elles débarquent sans se présenter, se permettent d’arbitrer et d’évaluer - comme si ces connes avaient une quelconque autorité, comme si le simple fait d’être une femelle leur donnait la science infuse sur la quintessence féminine -, ont la suffisance d’imaginer qu’objecter des « non ! » en guise d’argument soit sérieux, ont le front d’imposer leur vision déficiente et préfabriquée des relations homme-femme, suintent de mépris et de hargne, se permettent de catégoriser les hommes - en bonnes néofascistes du désir qu’elles sont - en homme (« évolués ») et sous-hommes (« primitifs », « beaufs », « boulets », « binaires », « patriarcaux »).
Elles sont une insulte à l’intelligence, à la décence, à la beauté, à la vérité, à la justice, à l’Eglise, à la France et à l’éternel féminin.
Au début, ici, moi aussi, je me suis fait avoir : j’ai été bienveillant. J’ai eu tort. J’ai été trop sympa, beaucoup trop gentleman, beaucoup trop galant, pensant leur faire entendre raison par la souplesse et la pédagogie. Certaines m’ont très gravement insulté ; à la moindre occasion, je le leur ferai payer durement.
Maintenant, de toute façon, c’est fini : à ces porcasses robotiques, c’est une guerre sans concession qu’il faut mener.
Weininger, Proudhon, Soral et d’autres ont déjà tout dit sur le sujet. Le combat d’idées est d’ors et déjà gagné depuis longtemps.
Le mot de la fin : ces ordures égocentrées défendent bec et ongles le petit pré carré de la gestion de leur fion. Tous les autres sujets, elles n’en ont rien à foutre. Elles n’apportent rien sur les autres articles. Même le combat contre la pédocriminalité, ces prostituées-là se torchent avec.