Du concret, du factuel : j’ai un pote qui habite la ville de l’ex-maire Eric Raoult, éh bien, dans son immeuble, la minuterie est systématiquement cassée pour correspondre aux préceptes shabbatiques, de sorte que les parties communes demeurent éclairées 24h/24...
Ah ! les "racailles de banlieue"... dans cet exemple précis, médecins, dentistes, avocats... tout cela, incroyable, mais vrai.
Les non-juifs de l’immeuble ont juste le droit de s’y soumettre. Voilà, je donne un exemple à cette échelle, convertissez...
"Chaque melakha entraîne des prohibitions dérivées. Par exemple, « produire un feu » s’étend à toute forme de courant (...) Autre exemple, utiliser un interrupteur tombe sous l’activité de « construire » ou « démolir » (le mot hébreu pour définir cela peut être interprété comme « détruire en vue de reconstruire »). La solution classique est l’emploi de minuteries pré-réglées, encore que celle-ci ne fait pas l’unanimité parmi les décisionnaires (Posqim).
En clair, le Talmud interdit pratiquement toute activité de travail et recense trente-neuf activités prohibées qui sont adaptées au monde moderne par les Sages (cuisiner, saler les aliments, écrire, éteindre un feu, transporter un objet d’un domaine privé à un domaine public, activer/désactiver un dispositif électrique, etc.)" http://fr.wikipedia.org/wiki/Chabbat à : Statut des prohibitions
Quoi qu’il en soit, Merci Gilad, c’est limpide. Merci aussi Alimuddin, debout, tous ensemble !