Relatons une petite sentence révélatrice de votre vacuité intellectuelle Monsieur Noah ; malgré-vous et sauf votre respect ; car nous vous présumons quand-même de bon aloi : "Si tu es raciste, tu m’insultes.". Dès lors si nous inversons selon votre logique, ce déictique enthymèmatique involontaire susmentionné de votre cru, ce dernier même doublé de ce fait d’un lapsus révélateur, qui est l’apanage ; ne vous en déplaise et en espérant que cela vous interloque ; des idiots utiles (et inutiles par ailleurs) d’une gouvernance donnée, nous pouvons impliciter cela : "Si tu es antiraciste, tu m’honores.". C’est pathétique, voire pathologique. Navré cher ami !
Réveillez-vous Monsieur Noah ! Ou plutôt "éveillez vous" ! L’ordre du jour des masses populaires, dans ce monde en perdition, n’est pas le rapport "racisme-antiracisme" mais plutôt celui de "vie-survie".
Emancipez-vous de cette pourriture préformatée qui condamne votre conscience à ne point penser selon vous-même ; malgré ce qu’elle vous vend ; et qui finira au long terme par détruire votre esprit. Esprit qui est déjà bien malmené à ce que nous pouvons sommairement constater.
Yannick, réinitialisez-vous intellectuellement, consciencieusement et spirituellement. Ainsi il n’y aura plus aucun conflit dans votre âme. C’est dans l’effort de l’esprit que l’on peut mesurer la vraie valeur des hommes.
Le message est aussi valable pour Monsieur Biolay. Concernant sa dernière oeuvre troubadouresque, dans laquelle il a malheureusement très grand mal à identifier ce que suggère dans son acception moderne le texte de kessel et Druon, qu’il se réattribue par défaut.
Les fameux "fachos" vous tendent la main messieurs. Pas unanimement, car la plupart sont encore sous le coup de la colère, et non sous celui de la haine. Haine imputée à tout ce qui est "biniou" par cette gouvernance globale qui a vu vos jours naître et vous instille depuis votre plus jeune âge ses préceptes pernicieux, tout en vous adoubant. Posez-vous les bonnes questions même si elles n’ont pas encore de réponses.
En cela, saisissez cette occasion unique de rejoindre ce qui est considéré aujourd’hui comme les rangs de pègre, cela n’en sera que plus bénéfique pour vous, autrui, et votre présupposé humanisme immanent.
Montrez aux tricards que nous sommes ; en tant que personnages publics ; que vous avez au moins autant de couilles que nous. À moins que vos âmes ne soient si gangrénées jusqu’à l’os, que vous ne soyez en fait que complices de toute cette merde.