Tiens, pour ceux qui dénoncent la « pleurnicherie » et le caractère « sirupeux » de ceux qui désapprouvent de se réjouir de cette mort, je viens de (re)tomber sur un entretien avec Alain Soral au sujet du suicide de Dominique Venner, et on y trouve notamment le passage suivant :
« D’abord, contrairement aux petites ordures de gauche de l’entourage de Mélenchon qui se réjouissent, par exemple, de la chute et de la blessure de Marine Le Pen, je n’aime pas trop rire ni ironiser sur la souffrance réelle d’autrui. Pour moi, la fin ne justifie pas les moyens… »
Il faut être cohérent avec soi-même.