On en voit de toutes les couleurs !
10 juillet 2014 15:52, par FoldingoBlabla sur les CV...
Je sais que je ne vais pas me faire que des amis, mais bon... Sans être un libre penseur, j’ai malgré tout ma liberté de penser...
Concernant cette discrimination, quoiqu’il en soit, à un moment ou un autre, il y aura entretien "direct" dans la procédure de recrutement. Ca changera quoi, alors ? (sauf quotas obligatoires, comme les blacks dans les films amérloques).
Prenons le cas d’un candidat d’orignie algérienne :
Quand j’étais chef d’entreprise (120 collaborateurs), j’en ai connu des pleurnichards, soumis, câlins aux entretiens, les mêmes qui ensuite devenaient de "vrais" syndicalistes (protégés, revendicatifs,...) et cassaient les couilles à toute l’entreprise. Aujourd’hui, - sauf à un certain niveau s’entend (et dans ce cas, pas de problème) -, prendre un "algérien d’origine" dans une entreprise, c’est comme pour le foot (si vous voyez), un risque d’être emmerdé plus grand qu’avec un français de base (question de culture initiale, de tempérament etc...).
En revanche, ceux parmi eux employés au black dans les boulots du bâtiment par exemple, qui n’ont dès lors aucune possibilité de la ramener, eh bien, ils bossent et, par obligation, sont corrects. Un comble, non ?
Ca me rappelle ma jeunesse "algérienne", un de nos amis Kabyle nous disait un proverbe : "Le chacal, tu l’attaches, les poules viennent picorer entre ses pattes et il ne fait rien. Tu le détaches, il bouffe poulailler et se sauve".
Bref, j’observe que cette situation lamentable est malheureusement à considérer comme "dans l’ordre des choses", mais à qui la faute ?
Ah oui, j’oubliais, aux Français bien sûr, ceux qui par l’influence du "Terroir" (cf les élucubrations habituelles auxquelles n’échappent pas même un LLP) sont à l’origine de ces mentalités (et sont à l’origine des Merah aussi, et de la mort de l’Archiduc d’Autriche pourquoi-pas, bref à l’origine de tout ce qui ne va pas).).
Conclusion, "N’est pas Camel Béchick qui veut !"...
P.S. : Parmi des amis chefs d’entreprise d’origine algérienne (ceux qui relèvent les manches), j’ai pu noter que mon opinion est partagée (sauf si on embauche quelqu’un de la famille, évidemment).