Dans le reportage, entre 1 mn 07 et 1 mn 18, on provoque un stress physico-biologique de magnitude de force 3 à 5, selon les individus de genre masculin, suite à la progression spectaculaire d’une humanoïde déambulatoire montrant toutes les apparences d’une jeune femme dotée d’une paire de cuisses appétissante et d’un short microscopique, alors que la journaliste tente désespéremment de déployer son argumentaire en fond de caméra, avec pas mal de difficultés, il faut le reconnaître.
Ecran de télé ou écran de PC, tout ça n’est qu’un panneau de verre, animé par un courant d’électrons multi-colores. Bref ce n’est qu’une apparence, pas le réel.
Au cours du XIX è siècle, les médecins avait réalisé de grands progrès en termes d’hygiène corporelle et de salubrité publique. Il nous reste juste à réaliser à notre tour les progrès sanitaires en termes d’hygiène visuelle. .
Pour le dire simplement, se prémunir des microbes visuels revient à jeter les écrans, sous toutes ses formes, pour commencer à voir, vivre et ressentir les vraies femmes dans le réel.