Boris Cyrulnik ou la banalité du bien
9 septembre 2014 13:00, par CHIRICAHUA
Et combien d’écrivains, de prétendus philosophes, de savants surfaits, etc. portés aux nues parce que leur seul titre de gloire est d’appartenir à la communauté du "peuple élu" ! Michel de la Montagne, dit Montaigne, proclamé plus grand esprit de son siècle alors que l’on serait bien en peine de trouver chez lui quelque chose qui ressemblerait à une idée originale ; Marcel Proust dont le culte qui lui est rendu fait oublier que les éditeurs sérieux ne voulaient pas entendre parler de lui mais qui (le culte à lui rendu) permet d’occulter l’immense Roger Martin du Gard, authentique géant de la littérature (qu’on devrait honorer comme les Russes honorent Tolstoï) ; Einstein qui passe pour le génie indépassable alors qu’il a "pompé" la théorie de la relativité, clés en main, de Henri Poincaré, le génial mathématicien français. (De plus, Einstein, nul en maths, avait pour femme une matheuse très douée qui n’est pas pour rien dans la gloire de son mari qui l’obligeait à faire silence sur son apport.) ; et Finkielkraut (dans Finkielkraut, il y a kraut) que l’on présente comme philosophe et qui est diplômé de lettres ; et, enfin, l’immense Jean-Baptiste Bothul, le penseur que le monde entier envie à la France ! Etc., etc..