Le FMI veut que les contribuables garantissent les prêts octroyés aux entreprises
11 octobre 2014 15:19, par Canal PelucheTous les moyens sont bons pour vivre au-dessus de ses moyens. Ainsi est l’éthique de la Franc-Maçonnerie Internationale (FMI).
Croissance, toujours la croissance... Elle est par définition usurière, la croissance. Alors doit-on ignorer la croissance démographique au motif qu’il faut de la croissance économique ? Parce qu’on va droit dans le mur si on ne contient pas les ambitions capitalistolibérales.
Il n’y a qu’un arbre (la Terre). Sa capacité de régénération est un processus lent et fragile. S’il n’y a pas une exploitation durable et une répartition équitable de ses fruits on en arrivera à se manger les uns les autres. Chacun vient garnir son petit panier et tente de le protéger. Ainsi parle-t-on de capitalisme. Mais il n’y a toujours qu’un seul arbre. Alors imagine des parades pour créer de la croissance. On spécule avec les paniers des uns et des autres sur la croissance de l’arbre, on prête à crédit (usure) le contenu de son propre panier, on prête même à crédit ce qu’on n’a pas encore dans son panier en misant sur la capacité de l’arbre à se régénérer.
Pendant ce temps l’arbre est écorché et dépouillé plus rapidement chaque année. Au nom de la croissance économique. Le nombre de billets de banques et les chiffres des bits informatiques ont atteint une valeur correspondante à ce que l’arbre produirait en plusieurs siècles. Tels des Adam et des Eve nous pensons d’abord libertés et responsabilités individuelles. Chacun se sens responsable de remplir son panier, mais personne ne se sens responsable de l’arbre.