"La Ruche qui dit Oui !" : de la communication à la réalité
17 octobre 2014 22:56, par roberto Miopalmo
Le plus beau avec ce système, c’est que la personne en charge d’une ruche travaille pour un salaire de misère avec aucun contrat la couvrant en cas de problème et les "bobos" parisiens peuvent continuer à amasser leur pécule.
il suffit de simples tableaux en ligne et de créer une association en lien avec des producteurs locaux pour disposer d’un système similaire sans les deux intermédiaires et en économisant donc 16 %.