Devant le procureur, deux militants révisionnistes italiens assument
18 novembre 2014 15:05, par HervéOn dirait que la méthode Vincent Reynouard fait des émules. Et je crois contrairement à certains qu’il va y en avoir de plus en plus. Car comme Stefano Schiavulli l’a fort bien dit, on ne peut menotter un cerveau. La version Reynouard c’est "faudra me tuer". Faurisson a vu une avocate du camp adverse "nulle" qui prétend "tirer la langue" à laquelle il répond "c’est votre plus bel organe". En face, on a des dirigeants de plus en plus paniqués.
Hé oui, c’est dur de dire aux enfants "pensez par vous-même" et "grandissez un peu" tout en lançant la répression dès que des preuves sont réclamées.
Dur d’enseigner "le discours de la méthode" en se réclamant de son auteur René Descartes, "pour conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences" et venir nous dire après "il ne faut pas se demander comment techniquement le génocide a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu". Ouille ouille ouille ! Ca fait maaaal d’admettre ainsi qu’il y aurait des sujets plus "méthodiques " que d’autres. :)
Dur dur dur de nous citer la phrase de Saint Just "Pas de liberté pour les ennemis de la liberté" et se poser en parangon de la liberté d’expression, tout en envoyant au tribunal la moindre voix dissonante.
Dur dur dur finalement, de prêcher une chose et de faire exactement l’inverse dès que l’occasion se présente.
Mais le système en place ne fait là que montrer à quel point il panique voire qu’il n’en pense pas moins...
Hervé