Vraiment impressionné hier, les mots me manquaient pour y ajouter quoique ce soit d’intéressant à ce qui venait d’être lu.
J’ai pris le temps de bien relire ce soir, pour me faire plaisir et me ré-imprégner du ton et des tournures de phrase. Je ne veux pas vraiment commenter, juste mettre en exergue des injections comme :
Car crime il n’y a point à dire ce que l’on pense.
ou :
L’histoire nous a appris que l’espoir est toujours assassiné par une trahison.
Et :
Je suis fier de ma négritude, je suis fier d’être français, votre combat est le mien.
Et pour finir (en deux phrases) :
Aucun jugement je ne porte sur vous, Dieu seul prévaut sur ce terrain-là. C’est je pense le chemin que devraient suivre tous ces détracteurs ou dissidents « youtubistes », « bloginistes » ou « twitteristes », qui, au premier piège tissé par le Grand Ennemi, foncent tête baissée sans même avoir l’intelligence de l’homme sage qui a fait dire à Thucydide qu’« il est deux choses contraires à une sage délibération : la précipitation et la colère ».
Je fais le perroquet, donc, mais pour ne pas l’être complètement, je voulais chaleureusement remercier H. N. pour sa prose, sur la forme bien sûr, sur le fonds plus que tout.
Il a beaucoup mieux exprimé ce que je n’aurai jamais su dire. Je ne réagis ici qu’une fois au pseudo-scandale médiatique d’un banni des médias (donc : un non-sens ontologique - et quelques clics rémunérateurs pour libe.fr, ces indépendants de la liberté de pensée en rothschild).
Je reste toujours très attentiste et en retrait, quand les missiles médiatiques sont lancés.
Merci, Monsieur H.