il est bien gentil le Sapir...
il affiche toujours la même bien-pensance : à le lire, on vivrait dans un pays normal, avec des politiques normaux, mais juste mal informés, ou au mauvais jugement, ou faisant des erreurs de stratégie...
Soit il est concon, soit il le fait exprès, bossant pour le pouvoir, lorgnant sur l’étape suivante.
Je maintiens toujours la même analyse : Sapir vise le créneau de Yves Calvi / C dans l’air, rêvant d’incarner le nouvel orchestrateur du soi-disant bousculage des certitudes, dans le ronron des lambris des belles brasseries parisiennes.
M/