Ingénierie sociale du conflit identitaire
11 janvier 2015 10:09, par ErdovalAprès la lecture de cet article je m’interroge sur la relation qui pourrait être faite entre le retour de Sarko en novembre et ces évènements de début janvier…Quant aux victimes juives de ces évènements elles me sont apparues indispensables, tant elles manquaient au tableau de chasse de chez Charlie. Indispensable en effet pour créer le lien de solidarité entre français de souche et la communauté juive contre les immigrés musulmans (massacrez les tous et dieu reconnaîtra les siens ! doctrine appliquée contre les Cathares et si bien mise en oeuvre encore récemment contre les palestiniens de la bande de Gaza).
Remarquable l’effacement du CRIF lors de cette affaire au profit... du gouvernement israélien lui-même.
Remarquable aussi le battage médiatique pendant et après ces opérations sanglantes : objectif effet de sidération le plus profond afin d’éviter que les gens réfléchissent.
Encore un petit détail qui pourrait avoir son importance : il paraît que le Coulibaly abattu dans l’HyperKasher de la porte de Vincennes avait rencontré Sarko pour lui demander du boulot. Lui en aurait-il trouvé avec en prime l’éternité bienheureuse ?
L’opération Charlie serait donc une manipulation de l’oligarchie amécano-sioniste jusqu’à présent réussie qui aurait aussi l’avantage de régler des comptes avec un canard que Sarko ne devait pas porter dans son coeur mais qu’il va bien sûr regretter publiquement au titre de la défense de la liberté d’expression. Et l’opération Kasher, venant d’ailleurs semble-t-il après le ratage de l’opération initialement programmée Porte de Montrouge sur une école juive (à résonance affective évidemment beaucoup plus forte) le deuxième volet de la manipulation oligarchique.
L’heure est à une extrème vigilance pour les Français. Dans l’immédiat je conseille de s’abstenir de jouer les moutons de Panurge et de ne pas se rendre aux funérailles nationales de Charlie, qui ne sont qu’une mascarade sordide orchestrée par des manipulateurs sans foi ni loi qui nous prennent tous pour de la chaire à canons. Français, c’est à votre propre enterrement qu’on vous invite !