« Les écoutes administratives, c’est quatre mois renouvelables une fois, donc huit mois en tout. Alors si on n’entend rien qui permette d’aller voir un juge, on arrête. En plus, il y a un quota : pour brancher quelqu’un, il faut en débrancher un autre. En plus, il faut avoir les moyens d’écouter vraiment. Ça ne sert à rien de brancher deux cents personnes si on n’a pas les moyens de suivre et étudier les conversations. Et les moyens, on ne les a pas. » (Sud Ouest du 13 janvier 2015)
A coté des 3000 bonhommes de Mitterand, on a du mal à avaler sans que ça passe de travers. Je suis certain que pour un Dieudonné ou un Soral suivi de près, on peu suivre au bas mot 10 terroristes avec les mêmes moyens.
En même temps, le coup du "on a un quota", j’ai du mal à croire : que ferait la différence d’écoute entre 200 et 400 terroristes présumés sans arrêt contre la sécurité donnée.
Et puis enfin, il faudrait arrêter d’associer les termes théorie et complot, à partir d’un certain nombre de faits avérés, on ne parle plus de théorie. Le complot est là, ce qu’on aimerait savoir maintenant, c’est qui sont derrière, dans le détail, chose impossible vue la conjoncture actuelle.