Nobody’s perfect mais monsieur Alain Soral par son engagement et la prise de risques qui s’y rattache, par ses analyses, par sa clairvoyance, ce monsieur nous a rendu la part d’intelligence qu’on s’emploie à nous dérober depuis des lustres. Son emphase dialectique est drôlement contagieuse pour nous et malheureusement virale pour d’autres. La vie revient, merci donc.