Pour éviter d’en arriver à ce genre de choses, il suffirait que l’instruction nationale se contente de faire son travail point à la ligne.
Le professeur de Français, fait son cours de Français, le professeur de Mathématiques pareil. Non, là il semblerait que cela soit la résultante d’une séance de conditionnement des masses. De psychologie de bazar où l’on essaye d’influencer les enfants en prétextant que la situation nécessitait qu’on fasse des débats à la place de faire la leçon.
L’école n’a pas à se mêler de ces choses là, si les enfants sont en questionnement, tout comme la sexualité, ce sont aux parents à leur parler et à les rassurer. Pas aux enseignants.
Maintenant, s’il s’agit d’une graine de lascar, fouteur de merde en classe, toujours prompt à emmerder le monde, et qu’il s’est exprimé à tord et à travers. Alors la situation est différente, une grosse tarte dans la gueule pour lui remettre les idées en place ne lui ferait pas de mal.