Gabriele Adinolfi présente son livre Années de plomb et semelles de vent
1er février 2015 02:46, par Szczebrzerzyszczykowski
J’ai toujours trouvé que M. Adinolfi avait une classe folle, et un aura particulier n’appartenant qu’à ceux qui "mettent leur peau au bout de leurs idées" (ou au moins leur liberté). Pure classe européenne. Avec en plus une pointe de cette mythologie "d’annunziano-borghesienne", "X-massienne" (decima-massienne), "folgoro-squadriste" (des mots que j’invente là), etc…, que j’admire.
Mon personnage favori de la série italienne Romanzo Criminale, Il Nero, me faisait penser à lui, presque physiquement : courage, sang froid et décontraction (avant que je n’apprenne que ce personnage était inspiré par un autre, en l’occurrence Massimo Carminati).