Délire de persécution et tentative de racket
8 février 2015 14:12, par Acte patriote
En même temps, c’est le rôle de l’assistant-réalisateur (j’ai fait) de se préoccuper des propriétés privées qui apparaissent même partiellement à l’image ! (Autant que pour les personnes en prenant des figurants recrutés sous contrat ou en faisant signer une décharge aux passants susceptibles de se retrouver dans le cadre au montage final ...).
Un film précise les lieux de tournages (notamment au générique quand il faut remercier les communes d’accueil) mais il y a quand-même une marge entre une négligence de droit à l’image et une mise en danger de la vie d’autrui que la Justice devra donc considérer !
Malheureusement (ou heureusement) devant un tribunal, on ne se défend pas avec des principes (même les plus beaux) mais avec des règles de droit en vigueur.
Un (petit) dédommagement amiable à posteriori aurait suffi et il est courant que le juge civil (puisque non pas pénal) privilégie cette solution ...
Mais effectivement, il y a faute (mais que professionnelle !).