Monsieur Gollnisch n’a pas "Charlie Hebdo" comme guide de moralité. Sa parole en devient donc, dans le meilleur des cas, suspecte au pouvoir. La liberté d’expression "Je suis Charlie" a un excellent modèle : la Corée du Nord. On peut aussi y être d’accord avec le pouvoir. La police n’y défend pas les opinions différentes de celles du pouvoir.
La France se forme à ce genre de pouvoir. J’ai confiance en Elle. Elle va y arriver. J’aimerais être mort avant.
Nous allons rejouer "Les heures les plus sombres de notre histoire". Cette fois, ce sera PS. On est mal.