Entretien exclusif avec le père Elias Zahlaoui, prêtre à Notre-Dame de Damas
17 février 2015 19:27, par Laigle@Jeandepaix
A San Egidio, l’ensemble des acteurs du terrorisme en Algérie ont rameuté leurs supplétifs. Tous les services occidentaux. y compris la Sapinière. tous, sauf un ! La très Gaulienne DST, qui d’ailleurs, a été assassinée pour créer quelque chose de plus NWO compatible : prenez deux entités, fusionnez les , créez des doublons, coupez des têtes et réorganisez le tout.
Quant à parler de "Tragédie", il s’agit du 3ème step de sémantique de manipulation.
la première, celle de la phase ascendante du terrorisme utilisait le terme de "groupes armés d’opposition", c’était l’époque où le NWO soutenait plus ou moins ouvertement les terroristes et où la CIA, publiait via le Rand un appel à augmenter ce soutien.
Ensuite, post San Egidio, l’étape du "qui tue qui ?", visant à nier le terrorisme en Algérie et à mettre les crimes des terroristes sur le dos de l’ANP tant qu’à faire.
L’étape 3, post 911, visait à maintenir l’Algérie en dehors du champs du terrorisme tout en ne portant pas atteinte à la pseudo "war on terror", mais garder une certaine flexibilité pour le "qui tue qui ?" D’où l’apparition de terminologie typée "guerre civile" ou "tragédie" , cette dernière se référant à quelque chose d’inévitable et sans responsable. Or, il s’agit d’une tentative de satellisation néocoloniale de l’Algérie, qui s’est appuyée sur des faiblesses liée à l’Algérie. Comme le dit Imran Hossein, chque pays à des mécontentements, des problèmes des faiblesses et c’est cela qui est utilisé par ceux qui ont les moyens de l’interventionnisme, de l’entrisme, pour déstabiliser.
Le jour où le Parti Sionçaliste, la CIA, la NWO compatible DGSE se soucieront de l’Algérie, les poules auront des dents. Pendant ce temps là , le très intègre Yves Bonnet avouait que la DST avait les poings menottés volontairement par les politiques alors que sa mission régalienne de la défense de la France convergeait objectivement avec la lutte anti terroriste de l’Algérie. Là où historiquement, politiquement, idéologiquement et par la nature de sa mission, la DGSE est dans une vision socialisto-néocoloniale.