Découvrir Michel Clouscard, penseur de la modernité libérale-libertaire
22 février 2015 14:08, par medOk ; le gros problème c’est une fois de plus la ’généralisation’ pour ’explication’. La réalité, c’est qu’individuellement rien n’empêche de ne pas servir de caution, de passerelle, ou de moyen d’existence ; à des gens qui vous utilisent comme une poubelle, et personne ne peut rien contre ça. ’Consommer’, se laisser emplir par les uns et vider par les autres, ne faire aucun travail sur soi, se laisser mener, ne sont pas des obligations. Chacun peut vivre honnêtement en étant soi-même. La réalité c’est qu’il n’y a aucun ’slogan’ mot d’ordre ou loi, mettant en évidence une obligation de se soumettre à la médiocrité ou de se laisser tirer vers la bas par qui que ce soit. Mais c’est un travail personnel que personne ne peut faire pour, ou à la place de quelqu’un d’autre. Le ’bonheur’ ne s’atteint pas collectivement. Le fait que la médiocrité prospère, n’est pas une preuve de tyrannie de la médiocrité ; mais bien une preuve de la médiocrité de ceux qui la font prospérer. Personne ne va vous faire ’grandir’ malgré vous, ou le faire à votre place, et surtout pas les ’systèmes’ qui s’adressent à des ’collectivités’ dans lesquelles vous êtes appelés a vous gommer. "Les oreilles et les bras ne sont pas des anses de poubelle"...reste a travailler sur soi pour faire un tri selon ce qu’on est vraiment.