La fin de la liberté d’expression sur Internet au menu du dîner du CRIF
26 février 2015 13:31, par HasdrubalDeuxième partie :
Après Charlie, la liberté d’expression se transforme en liberté de répression.
Dans son discours le marrane de l’Elysée a lancé un appel vibrant aux israélites résidant en France "Français juifs, vous êtes chez vous ici, dans votre patrie. Elle vous doit une part de son identité. Vous lui avez tant donné ; la France le sait, le dit et le montre, et elle s’est levée il y a un mois pour dire non au fanatisme et à l’antisémitisme" (on remarquera le glissement sémantique de juifs français à français juifs ! Kolossale subtilité. On aimerait savoir ce que les juifs ont apporté concrètement à la France mais Hollande s’est bien gardé d’en dire davantage (beaucoup d’ennuis en réalité). On est donc prié de le croire sur parole. Si les juifs sont donc parés de toutes les vertus et de tous les mérites, qu’ils sont victimes de tout mais coupables de rien, en revanche, a tonné le hollandais, l’antisémitisme qui "se nourrit de la haine d’Israël" (il n’est donc plus permis d’être antisioniste et de condamner les crimes de l’Etat hébreu contre les Palestiniens, l’Autorité palestinienne a même été condamnée par l’administration Obama pour les “attentats” commis contre Israël, il fallait oser !). Pourquoi l’antisémitisme revient-il toujours après deux mille ans ou plus ? Là encore nous n’aurons pas la réponse. Si l’antisémitisme est une lèpre, les antisémites sont donc des lépreux qu’il convient d’isoler, de mettre en quarantaine, d’exclure du corps social, de la civilisation, de la nation et, si possible, de rééduquer, de soigner en camp de rééducation. Par un formatage de tous les instants, un véritable embrigadement des consciences, (Il y a quelque chose de fasciste dans la lutte contre l’antisémitisme). Dans son allocution, Hollande a insisté sur l’importance de la transmission des "valeurs de la République" et de la mémoire de la Shoah à l’école dès le plus jeune âge pour lutter contre les "préjugés racistes, antisémites ou homophobes" (question : les homos seraient-ils une race à part ?). On le voit, soixante-dix ans après la Seconde Guerre mondiale, nous subissons plus que jamais une irrespirable chape de plomb qui n’a de cesse de se renforcer. Leur monde est une prison. Leur lutte contre l’antisémitisme est un symptôme autistique.
(d’après un article de J. Bourbon)