Daniel Cohn-Bendit, ce grand protecteur des enfants
6 mars 2015 12:23, par PLB
Tous les enfants sont violents naturellement parce que cela fait partie des processus qui les conduit à se situer socialement et parce que la violence est un des moyens de le faire. Par conséquent un gifle ou une fessée appliquée en retour d’un comportement inacceptable en famille est légitime dans les yeux de l’enfant car elle définit clairement les limites de son droit et lui permet de se situer avec certitude dans la hiérarchie familiale. Le dire ce n’est pas faire apologie de la violence. C’est constater une évidence.
Ce qui est violent dans les yeux de l’enfant c’est le chômage auquel ses parents sont confrontés c’est la pauvreté des uns et la richesse des autres, c’est le mensonge des adultes et parfois comme Cohn Bendit leur penchants sexuels malsains.