Dimanche, à Belleville, les féministes seront des trans antifas
10 mars 2015 16:20, par MagnaVeritasA la place des musulmanes, des « banlieusardes » (qui est en soi un mot péjoratif, j’en veux pour preuve sa construction étymologique) et surtout des« précaires » je me sentirais outragé d’être associé à des « gouines », prisonnières, putes, etc.
ça a toujours une lubie des trotskards et même des communistes d’homogénéiser les marges alors qu’il n’y a bien souvent rien en commun entre un(e) « précaire » et une pute ou un détenu. Au contraire, elles sont bien souvent précaires précisément parce qu’elles ne sont pas putes, comme les journalistes.
Ils essaient de caser freaks et pauvres dans le même sac poubelle alors qu’objectivement la « lutte » sociétale est une lutte contre la nature alors que le combat sociale est un combat pour sa sublimation.
Soit dit en passant, ces clandos de la pensée n’y connaissent rien ni au pancrace ni au catch alors qu’ils arrêtent de se prendre pour des lutteurs.
Ils font exactement pareil avec ce qu’ils appellent « extrême-droite » (ou même extrême droite sans tiret).
Pour eux : l’extrême-droite n’est pas la droite contestataire, antisystème, etc. alors que sa définition objective. Ils nient cela afin de se présenter comme seule voie de contestation.
Pour ces fdp disais-je : extrême-droite = leurs ennemis, c’est-à-dire tout ce qui lutte d’une façon ou d’une autre à la fois contre la culture de mort et pour le vrai pouvoir du peuple ; et eux, c’est-à-dire les révolutionnaires en carton, les lutteurs de la posture : antifas, déviants sexuels et autres freaks, c’est le Bien, les sauveurs selon le triangle dramatique. Voilà où mène la rivalité mimétique anticatholique.
Leurs petits tours de passe-passe sont définitivement KO. Le conglomérat des aliénateurs confusionnistes attrape-couillons est encore une fois magnaveritasé.