Afin de masquer sa trahison du peuple grec, Tsipras met en garde contre "le populisme" en Europe
15 mars 2015 20:25, par SukhoiJe crois qu’on est arrivés à déceler un pattern là. Une suite d’évènements logique :
Le gauchiste veut accéder au pouvoir pour appliquer son programme socialo-marxiste, instaurer l’égalité, annihiler la pauvreté et accueillir des millions d’immigrés supplémentaires. (Bon. on a beau lui expliquer que ses deux derniers objectifs sont contradictoires, il ne comprend pas.)
Le gauchiste aime le compromis et les bisous. Gros problème ; En face, les puissances financières sont sans pitié. Pas de compromis. Wall Street et la City tapent du poing du la table.
Le gauchiste est trop gentil pour imposer son programme, trop dans la demi-mesure et le coupage de poire en deux. Après moult promesses aux sans-dents, lui le sans-couille se soumet quasi-instantanément aux injonctions des marchés financiers. Le Capital, qu’il s’est pourtant juré de combattre, vient de lui mettre le pied sur la gorge.
La colère gronde dans son pays. Le gauchiste est conscient de ses trahisons qui le mettent dans une posture peu enviable. Le reste de son programme, consistant dans l’extension indéfinie des droits des gays et immigrés, n’apaise aucunement la colère populaire, bien au contraire.
Il se met donc a pointer du doigt un bouc-émissaire ; Les "populistes", comprenez, ceux qui ont les couilles de se réapproprier le droit de battre monnaie. Droit anti-sémite lorsqu’il est entre les mains de l’Etat, parait-il.