’Tel père tel fils’, ’tel huile telle flamme’, ’les chiens ne font pas des chats’, ’bon chien chasse de race’...ect...ect...Toujours les fameuses ’valeurs républicaines’ aux commandes, à la manœuvre, ou ; le dévoiement comme principe d’existence. Une chose leur est commune, à tous ces pervers ; ils ne font jamais rien de leurs mains ; ce sont des improductifs chroniques, des parasites et rien d’autre. En fait, ce que l’espèce humaine compte de moins reluisant. La lie. Et c’est bel et bien la lie qui est aux manettes, patauge dans la vie de ses victimes, en leur faisant la morale et les poches. Des rats. Des monuments de vertu en carton pâte, dont le vide est emplit d’une substance nauséabonde faite d’un mélange de perversité, d’hypocrisie et d’avidité. Des pervers polymorphes, des prédateurs névrotiques et vindicatifs en perpétuelle recherche d’un méfait a mettre à profit. Une maffia purulente et proliférante comme une tumeur aux vertus d’envahissement exacerbées par une malice maléfique et l’absence totale de scrupules. Une engeance immonde.