Agnès Soral poursuit sa psychanalyse au Salon du livre de Genève
3 mai 2015 23:18, par Ich liebe dich
J’imagine que c’est assez dur d’avoir un membre de sa famille qui soit collabo.
Des deux, celui qui ternit le nom Soral n’est pas celui qu’on pense, encore faut-il penser.
De sa psychologie, autant dire que quelque part, et vu l’objectivité criarde, j’ai bien envie de dire qu’on s’en balance un petit peu. Ça porte le nom de Soral, ça y ressemble physiquement mais c’est totalement creux et insuflé.
Pauvre femme, perdue entre la sénilité précoce que lui impose le showbiz et le besoin de maintenir un semblant d’existence médiatique qui n’est en réalité qu’une illusion par laquelle ses maitres la font chanter la partition qu’ils veulent, sur le ton qu’ils veulent. En fin de compte, elle reste l’interprète qu’elle a toujours été.