Agnès Soral poursuit sa psychanalyse au Salon du livre de Genève
4 mai 2015 17:33, par Mandark
On ne peut pas non plus lui reprocher de vouloir vivre normalement. Elle n’a pas choisi son frère et n’a pas à subir les répercussions négatives de son combat.
Mais je concède qu’aller systématiquement se répandre en pleurnicheries est indigne et stupide.