suite commentaire noel :
Je conseille la lecture de l’opuscule plutôt oublié de Victor Serge « Ce que tout révolutionnaire doit savoir de la répression » pour en savoir plus.
Une fois une organisation détectée, la deuxième étape : capturer et décoder les messages pour voir de quoi il en retourne. C’est plus lourd — plus de données à enregistrer, à transcrire, traduire, interpréter.
Troisième étape : envoyer les barbouzes espionner les individus concernés, planter des micros, ou infiltrer en personne le groupe en question.
Voilà pour le “big data”. À côté, il y a bien évidemment l’espionnage ciblé, lorsqu’on sait parfaitement ce que l’on cherche et où le chercher et que l’on n’a pas besoin du « big data », très utilisé pour l’espionnage d’entreprises — pardon, la « veille économique » ...