Bien. Et pendant ce temps-là, les médias et les programmes "scolaires" à la botte de la dictature en place (qu’on ne peut nommer), nous expliquent qu’un certain petit peuple séditieux et amateur de rapine, que nous étions trop bons d’héberger et de tolérer chez nous, était racketté par le pouvoir, par exemple en France, lorsqu’il devait payer des impôts particuliers lorsque nous avions encore un régime politique authentiquement français. Alors que la vérité transparaît dans ces "jugements" : les impôts particuliers et supplémentaires servaient juste à récupérer une partie de l’argent volé aux Français par le prêt à intérêts (exorbitants, souvent payés à la semaine), le prêt sur gage, bref : l’usure, la rapacité, le parasitisme, la voracité propre à ce peuple (qui est une religion ou un peuple suivant, là aussi, ses intérêts) qui va jusqu’à utiliser la justice qu’il tient sous sa coupe afin de voler encore plus le peuple qui l’héberge en son sein.