Je ne peux pas m’empêcher de ressentir une peine profonde pour Pénélope si mal payée de son extrordinaire patience car, ce qu’elle a retrouvé, ce n’est pas son Ulysse mais un criminel de guerre.
Ce qui a réintégré le sein du foyer de Pénélope, c’est un cheval de Troie sanglant et abominable à visage humain.