Agnès Saal : la république des copains coquins
23 mai 2015 10:28, par Jérôme2709
Parents juifs installés en Tunisie qui la quittent pour la France en 1967 car inquiets après la Guerre des Six Jours. Apparemment pas de grand-père ou de grand-mère mort à Auschwitz, le même jour, à la même heure et dans la même chambre à gaz qu’Édith Frolla. Mais bon ... Agnès Saal aurait quand même pu jouer la carte joker de l’antisémitisme pour sa défense, en disant que son fils devait absolument circuler en taxi dans Paris pour éviter les pogroms. Quelle déception qu’une telle opportunité n’ait pas été saisie au bond. Snif snif. Amen.